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| Compte-rendu de la réunion du Bureau de l'ACAD-MAE du 30 novembre 2001Le Bureau de l'ACAD-MAE s'est réuni le vendredi 30 novembre 2001, à 12 h, au 57 bd des Invalides, à Paris. Liste des participants : Martine Blatin, Annie Dubernet, Gilles Lainé, Jean-François Lantéri, Jean-Marc Mangiante, et Mélanie Kengen. Excusés : Jean Charroing (Damas), Alain Schneider (Bratislava). L'ordre du jour de la réunion était : I/ Le suivi du dossier formation.La cellule des Ressources humaines et la direction des Ressources humaines des Affaires étrangères sont en train de préparer le dispositif de formation 2001-2002. Les participants à la réunion ont souligné l’importance d’une plus grande cohérence entre la CRH, PLD et PLC, notamment pour les programmes élaborés en commun et ceci, dès le début du travail. L’ACAD rappelle qu’elle est très attachée à l’aspect formation. Alain Boucher, dans un message e-mail au bureau daté du 08/11/2001, rappelait que « dans le cadre de la définition des stages de formation continue pour les agents de la DGCID, les services centraux, les SCAC et les personnels de l’assistance technique, il conviendrait de renforcer les formations intersectorielles et de dynamiser les approches transversales ». Lors de la réunion de bureau, les participants ont rappelé qu’il était important d’initier et de renforcer des stages transversaux associant des services de provenances différentes (services de la DCT, MCNG, CCF…). Cependant, il ne faut pas nier que ces stages sont lourds à conduire car ils s’adressent à une population plus large (plutôt une centaine de personnes que 20-30 personnes). Lors de la mise en place de tels stages, il est important de trouver un thème fédérateur ainsi que des illustrations dans les différents secteurs. Par exemple :
L'ACAD souligne qu'il faut s'attacher à maintenir des formations pour l'assistance technique au moment où le passage du décret de 92 au décret de 67 repose la question de la formation. En effet, que va devenir la formation des personnels en poste, Assistants techniques ou personnels du réseau culturel, alors que sur le même budget, la formation à la centrale devra aussi être assurée. La ligne de crédit pour la formation et par conséquent le système de formation des Assistants techniques est menacé alors que la formation est primordiale dans les secteurs comme la santé, le développement rural, l'environnement, l'éducation... Enfin, il est important de sécuriser l’enveloppe formation pour l'ensemble des personnels du réseau culturel extérieur. II/ la mise en place de la prochaine table ronde : « La coopération prend-elle en compte le regard de l’autre ? »La réunion, début février 2002, du prochain sommet de Porto Alegre nous oblige à repousser d’une semaine la table ronde. Elle aura donc probablement lieu (sous réserve de disponibilité de la salle Lamartine de l’Assemblée nationale) l’après-midi du lundi 11 février 2002, de 16h à 19h environ.
Il s’agissait ensuite pour le bureau de trouver une personnalité capable d’animer le débat sans l’orienter pour autant vers son domaine de compétence. Après plusieurs suggestions, les participants ont décidé de demander à Gustave Massiah, président du centre de Recherche et d’Information sur le développement -CRID-) de tenir ce rôle d’animateur modérateur. Lors de la table ronde, il sera demandé à trois intervenants, chacun dans leur domaine de compétence, de s’exprimer sur l’un des trois thèmes suivants :
Le thème de la femme a aussi été évoqué et pourra éventuellement être abordé de façon transversale, lorsqu’il s’agira de la santé par exemple ou l’éducation. Les intervenants choisis outre leur expérience des thèmes traités devront aussi connaître les politiques de coopération française et/ou internationales. Ils seront de préférable issus « du sud », la présence d’une ou plusieurs femmes serait souhaitable. Enfin, l’idée d’inviter aussi des interlocuteurs qui, eux, exprimeraient plutôt la vision française ou « du Nord », a été exprimée. Ces interlocuteurs pourraient, à la suite des interventions de leurs collègues « du Sud » (quinze-vingt minutes), résumer leurs propos et donner un point de vue du « Nord » (5 minutes), pour lancer le débat. Une part importante du temps devra être conservé pour le débat
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